Qu’elle soit classique, moderne ou contemporaine, la danse est une discipline qui promeut l’expression du corps. S’il est vrai qu’elle a de très fortes exigences, il demeure parfaitement possible d’y faire carrière à condition d’efforts soutenus et de travail. A cet effet, la meilleure alternative est de se préparer convenablement au métier, au risque d’essuyer une réelle désillusion. Concept, formations, débouchés…, découvrez l’essentiel sur la danse en tant que profession.

Le « métier » de danseur

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, le métier de danseur n’est pas une profession idyllique. Avant toute chose, ce métier requiert un travail acharné et continu. Pour donc y faire carrière, un minimum de rigueur et de persévérance est nécessaire. Autrement dit, il faut être passionné pour s’y engager et il faut souvent un temps infini pour que le corps se plie à toutes les exigences des chorégraphes.

En tant que professionnel, un danseur est tenu d’être en parfaite santé physique. Il doit toujours tout mettre en œuvre pour éviter les blessures, au risque d’écourter la durée de sa carrière. La souplesse et l’endurance doivent être ses armes de guerre et c’est sans compter la charge de travail qui en découle.

Les formations à suivre ?

Compte tenu des éléments qu’elle implique, la profession de la danse demande un apprentissage précoce. Comme dans le domaine de la musique, il est inutile de préciser qu’on peut commencer plus jeune pour avoir le plus de chances. Le plus judicieux serait donc de suivre des cours spécifiques, dès la classe de la troisième et même avant. Pour une orientation au lycée, il faut envisager un baccalauréat TMD (Techniques de la Musique et de la Danse).

En vue d’une éventuelle professionnalisation, il est nécessaire de poursuivre des études de danse au sein d’un conservatoire ou d’une école de danse. Les diplômes obtenus auprès de ces différentes structures dépendent, en partie, des options et des cycles choisis par le danseur. Si les filières classiques sont réputées plus exigeantes que des danses plus modernes (rap, hiphop, danses de salon, …), il ne faut pas s’y tromper. Rien n’est facile et pour faire un bon danseur, il faut énormément de pratique et de travail.

Les débouchés du métier

Le métier de danseur comprend plusieurs débouchés. Cependant, il faut souligner que la compétition est très rude. Une évolution de carrière est envisageable en concluant des contrats avec les chorégraphes et compagnie réputées de la scène. Vers la quarantaine, la majorité des danseurs se tourne vers la reconversion. C’est quelque chose qu’il faut impérativement anticiper pour ne pas se retrouver le nez dessus, sans solution. En optant pour cette alternative, ils peuvent devenir : organisateurs de spectacle, enseignant, gestionnaire de théâtre ou compagnie… Bien entendu, ces différents postes sont rares, compte tenu de la concurrence qui fait rage sur le marché.

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Vers la fin des années 50, le traditionnel « Cha cha chà » de Cuba a muté pour donner naissance à une nouvelle forme de danse. Avec cette dernière, les couples devaient désormais se disposer en roue pour danser. On pouvait alors déjà percevoir les prémices de la rueda de casino. Très vivace, cette danse a très tôt fait l’objet d’un engouement manifeste chez les danseurs. Par la suite, elle s’est étendue au monde entier pour devenir un incontournable dans certaines régions.

La rueda de casino et ses origines

La rueda de casino a fait son apparition dans les années 50. À l’époque, elle se traduisait surtout par une danse qui se pratiquait en cercle. D’après les rumeurs, elle tirerait ses racines d’un pas de danse semblable à celui du « Son cubain ». Elle fut pratiquée pour la première fois dans le Club Casino Deportivo situé à Miramar. Réservé aux personnes issues de la civilisation blanche, ce club était un établissement de jeu qui accueillait régulièrement des soirées dansantes.

C’est au cours de l’une de ces soirées dansantes que la rueda de casino vit réellement le jour. Comme on pouvait s’en douter, elle fut rapidement adoptée par plusieurs autres établissements de jeu de l’île. Par la suite, la rueda de casino a évolué à son tour pour intégrer quelques figures du Rock’n Roll qui faisaient fureur à l’époque. D’autres figures furent également apportées par Jorge Alfaro en 1959, lors du carnaval de La Havane (encore appelé Guaracheros de Regla).

Des soirées danse dans les Casinos

Spectacle de danse, apprentissage de la danse ou tout simplement soirée ambiance pour se lâcher, les casinos, de nos jours, continuent de célébrer la danse à travers le monde. Dans la veine de certains établissements cubains d’époque, de nombreux établissements de jeu, à travers le monde, ont aussi leur piste de danse. Ils peuvent ainsi organiser régulièrement des soirées dansantes pour leurs clients. Si certaines sont en comité restreint, d’autres, en revanche, accueillent une multitude de personnes. Qui a dit que les joueurs de casino en ligne ou physique n’étaient pas aussi d’excellents danseurs ? La réalité semble le démontrer.

Alors On Danse ?

« Alors On Danse ? » est un exemple palpable qui reflète l’ambiance dansante que l’on retrouve dans les casinos. Pour le plus grand bonheur des amateurs de jeu et de danse, cet évènement se tiendra dans les locaux du Casino Barrière à Enghien-Les-Bains en juin 2022. Ainsi, le public n’aura d’autre choix que de s’enflammer sous les directives du célèbre danseur Chris Marques qui s’est fait notamment connaître en France avec l’émission « Danse avec les stars ». Accompagné des danseurs phares de l’émission, justement, le chorégraphe compte bien faire monter la température des lieux et on lui fait confiance. Cerise sur le gâteau, Pierre Darmon sera de la partie pour interpréter les plus grandes voix des hits français et internationaux.

C’est si bon… de danser

S’intégrant dans la logique des soirées musicales des années 50, le Casino de Montréal accueille le spectacle « C’est si bon… de danser » du 27 au 29 mai 2022. Plus que déterminée à attiser la flamme dansante des convives, la soirée sera menée de main de maître par Claude Saucier. Secondé par plusieurs interprètes, le célèbre animateur de Radio Canada déploiera ses atouts pour refléter l’esprit musical qui caractérise l’émission « C’est si bon ». Au programme, plusieurs artistes talentueux sont attendus sur ses 3 jours de danse. Là encore, les joueurs de casinos comme tous les autres sont attendus nombreux.

Bien sûr ce ne sont que quelques exemples parmi d’autres. Depuis la Rueda de Cuba et bien loin de là, les casinos aiment la danse. Au cours de ce genre de soirées spécial danse, inutile de préciser qu’on peut toujours profiter des jeux, tenter le jackpot à la machine-à sous ou même faire une petite session de roulette ou de blackjack. Très appréciés des amateurs, ces divertissements sont généralement présents dans la plupart des casinos digne de ce nom et l’engouement du public à leur égard les rende incontournable. En dehors de ces jeux traditionnels, certains casinos proposent encore quelques jeux supplémentaires. Dans leurs rangs, on trouve encore le kéno, la craps, le baccara et depuis tout récemment en France, le Bingo a même fait son entrée dans certains établissements.

Bien entendu, pour revenir aux soirées danse, les casinos continuent toujours de proposer leurs jeux durant ces animations et de tels événements n’oublient jamais les joueurs. En contrepartie, elles ont aussi l’avantage d’offrir des divertissements multiples, de l’amusement, sans compter l’opportunité de faire des rencontres.

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Dans la famille des danses « de salon », le tango argentin a une très grande notoriété dans le monde entier. Associant musicalité et sensualité, il a su traverser les époques pour se rallier des admirateurs aux quatre coins du monde. Il faut dire que cette danse entre feu et glace a tout pour exprimer les relations passionnelles, compliquées et fusionnelles qui se développent au sein d’un couple. Bien entendu, pour la pratiquer convenablement ou pour qu’elle exprime tout cela, certaines notions de base sont requises.

Que représente le tango argentin ?

Le tango argentin est l’une des danses les plus appréciées au monde. Dans son ensemble, il renvoie à une belle danse de couple régie par des codes et règles. Entre sensualité et improvisation, cette danse commence avant tout par une marche rythmique autour de la piste.

Au cours de cette phase, les partenaires se jaugent et communiquent de manière élégante et subtile. Le regard du danseur l’expressivité du visage en tango est au moins aussi important que le reste de son corps. Compte tenu des figures uniques qu’il nécessite, le tango argentin peut demander plusieurs années de pratique pour être interprété avec délicatesse. S’il semble dur et quelquefois froid par instants, il est, en réalité, une danse qui se pratique avec le cœur et c’est pour mieux s’épancher dans le feu des émotions.

Le tango argentin à ses origines

Comme l’indique son nom, le tango argentin vient d’Argentine où il vit le jour dans un contexte socio-économique tumultueux. Après la libération des esclaves par l’Argentine au XIX^e siècle, le pays connut une grande vague d’immigrés venus de la France, de l’Italie et de l’Espagne. À ce brassage ethnique venait s’ajouter la population locale des quartiers pauvres de Buenos Aires. Entre solitude et réconfort, le tango argentin naquit au cœur des divers bals improvisés par les populations. La présence des femmes n’étant pas répandue dans la région, la danse était, en partie, pratiquée par des hommes.

Le tango argentin à notre époque

Bien que le tango argentin ait connu ses débuts dans les rues de Buenos Aires, il est de nos jours considéré comme une danse très sophistiquée et obéissant à des codes très précis. Transmis de génération en génération, il ne cesse de susciter l’engouement des danseurs du monde entier. C’est dans cette optique qu’il est l’objet d’un festival international qui se déroule chaque année à Buenos Aires. À ce jour, les milongas sont les lieux de prédilection qui accueillent cette danse.

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La danse est une activité qui fait partie intégrante de nos cultures et il est peu de cultures traditionnelles dans le monde qui n’en connaissent des formes particulières. De nos jours, à côté des danseurs professionnels, si certains dansent par hobby, d’autres peuvent encore le faire à l’occasion des fêtes traditionnelles. Dans tous les cas, cette activité naît souvent d’un mouvement naturel, une envie de laisser aller son corps en rythme et de se faire plaisir. En dehors de la joie unique que la danse procure quand elle est pratiquée simplement, on peut lui attribuer bien d’autres effets. Découvrez-les dans ces lignes pour ne pas oublier que la danse peut être une source de plaisir sans cesse renouvelée.

Danse, bonheur et plaisir

Généralement, on se sent plus heureux lorsqu’on danse. Oui mais pourquoi ? Cette sensation de bonheur relève aussi d’un phénomène scientifique. En effet, lorsqu’une personne danse, son cerveau sécrète des neurotransmetteurs et endorphines qui procurent un sentiment de bien-être et de joie au corps. Associée à la musique, la danse enclenche les circuits sensoriels du cerveau, mais également les centres de plaisir de celui-ci.

D’un point de vue physique, la danse étire également les muscles du corps et les libère de la tension qu’ils renferment. On peut aisément comprendre et expérimenter cet effet détente après une bonne séance de danse.

L’entretien du corps

À l’image de n’importe quelle activité physique, la danse participe à l’entretien du corps humain. C’est un excellent moyen de tonifier et renforcer ses muscles dans la bonne humeur. Grâce à la stimulation de l’oreille interne, la danse favorise aussi l’équilibre du corps. On remarque donc que la coordination entre les organes de celui-ci est améliorée. Que du bonheur !

Il faut ajouter que les mouvements demandés par cette activité stimulent grandement la circulation sanguine. C’est donc une bonne alternative pour prévenir les maladies cardiovasculaires. Endurance, souffle et souplesse, elle revoit positivement les aptitudes du corps.

Booster sa confiance en soi

C’est un autre avantage moins connu mais saviez-vous que la danse aide à booster la confiance en soi ? Il semble, en effet, que les endorphines et ocytocines sécrétées lors d’une séance de danse ne se contentent pas de procurer une sensation de bien-être. En effet, ces hormones permettent de rehausser l’estime que l’on a de soi. Certaines danses vont plus loin en facilitant la réappropriation du corps, à travers l’exécution de certains mouvements. Il s’agit notamment de la danse orientale et du « pole dance » qui permettent aux femmes de se réaffirmer.

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